En très grand

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Des flacons hors norme pour sublimer les instants qui comptent.

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L’art de célébrer en grand

Il y a, en présence d’un magnum, d’un jéroboam et de tout grand format placé au centre d’une table quelque chose d’immédiatement théâtral. Ces flacons ne se contentent pas d’occuper l’espace : ils le subliment. Ils annoncent d’emblée un moment choisi, pensé pour être partagé, où l’on se rassemble autour d’un même vin, d’une même émotion.

Mais au-delà de leur silhouette majestueuse, ces bouteilles portent une idée simple, presque essentielle : le vin est un lien. Ouvrir un grand format, c’est offrir une expérience commune — le même vin, le même millésime, circulant de main en main. Un instant suspendu où les différences s’effacent pour ne laisser place qu’au plaisir partagé. Dans ce rituel, dans cette générosité assumée, se lit tout l’esprit de Cos d’Estournel : unir, transmettre, célébrer ensemble.

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L’expérience du temps

Le grand format ne se contente pas d’impressionner, son volume plus important limite les échanges d’air et ralentit l’évolution du vin, qui gagne alors en complexité. Il en résulte un potentiel de garde nettement prolongé. À Cos d’Estournel, deux types de bouchons coexistent : le bouchon classique, destiné aux bouteilles jusqu’aux double magnums, et un bouchon spécifique réservé aux 5 litres et au-delà.

Cette attention technique permet aux très grands flacons d’évoluer avec une grâce particulière, presque une douceur : le temps y travaille plus lentement, plus subtilement. Année après année, le vin se déploie avec ampleur, offrant aux amateurs la promesse d’un moment rare, d’une dégustation qui marque. Car un grand format ne se boit pas seulement : il se vit, et il laisse un souvenir mémorable.

L’expérience du savoir-faire

Si le grand format sublime le temps, il célèbre aussi l’artisanat. À Cos d’Estournel, chaque flacon est réalisé sur demande, numéroté, pensé comme une pièce unique. L’intérêt pour les grands formats, d’ailleurs, ne cesse de croître, auprès des amateurs du monde entier.

La palette de formats est particulièrement vaste avec Cos d’Estournel et Pagodes de Cos rouges, depuis le magnum (1,5 L) jusqu’au très rare primat (27 L), en passant par une multitude de contenants dont les noms seuls suffisent à stimuler l’imaginaire : double magnum (3 L), jéroboam (5 L), impériale (6 L), salmanazar (9 L), balthazar (12 L), nabuchodonosor (15 L), ou encore melchior (18 L). En blanc, Cos d’Estournel et Pagodes se déclinent en magnum (1,5 L), double-magnum (3 L) et impériale (6 L).

Issus d’ateliers spécialisés, souvent en Italie, chaque grand flacon demande une succession de gestes précis : mise en bouteille, cirage, pose du sceau, séchage, mise en caisse. Les formats les plus imposants, du double magnum jusqu’au 27 litres, sont cirés entièrement à la main.
Enfin, chaque caisse en bois est conçue comme un écrin, incluant un certificat numéroté avec QR code, garantissant l’origine et la traçabilité. C’est la rencontre entre la technique, la beauté et la précision.

Cire Cos d'Estournel

Une expérience totale

À Cos d’Estournel, un grand format n’est jamais un simple contenant. C’est une intention. Un geste d’élégance autant qu’une déclaration de générosité. Il rassemble les convives en incarnant ce que le vin peut offrir de plus noble : le partage, la patience, la transmission. Même l’acte de l’ouvrir devient un moment en soi. Certains brisent la cire sans y penser, d’un geste sûr. D’autres la retirent avec soin, presque comme un sculpteur. Il n’y a pas de bonne méthode — seulement des façons différentes d’entrer dans l’expérience.
De la vigne à la table, du geste à l’émotion, le grand format est une célébration.
Il ne vous reste plus qu’à créer l’occasion !

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